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Note 10. Actifs et engagements contractuels de contenus
Rapport financier | Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes consolidés |
États financiers consolidés
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Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes annuels | Comptes annuels de Vivendi SA
(b)
Comprend notamment les droits de diffusion de Groupe Canal+ pour les événements sportifs suivants :
–– Championnat de France de football de Ligue 1 pour la saison 2015/2016 (427 millions d’euros) et les quatre saisons 2016/2017 à 2019/2020
remportées le 4 avril 2014 pour les deux lots premium (2 160 millions d’euros), contre 854 millions d’euros au 31 décembre 2013, qui
correspondaient aux deux saisons 2014/2015 et 2015/2016 ;
–– Ligue des Champions de football pour les trois saisons 2015/2016 à 2017/2018 remportés le 11 avril 2014 pour un lot ;
––
English Premier League
de football pour la saison 2015/2016, renouvelée en janvier 2013 pour trois saisons ;
–– Championnat du monde de Formule 1, obtenus en février 2013.
Ces engagements seront comptabilisés au bilan à l’ouverture de la fenêtre de diffusion de chaque saison ou dès le premier paiement significatif.
Par ailleurs, le 19 janvier 2015, à l’issue d’un appel d’offres initié par la Ligue Nationale de Rugby, Groupe Canal+ conserve l’intégralité du TOP 14
de rugby (championnat de France), en exclusivité. Les droits, qui portent sur les sept matchs de chaque journée de championnat, les phases finales
ainsi que l’émission
Jour de Rugby
, couvrent les saisons 2015/2016 à 2018/2019.
(c)
Concerne essentiellement UMG qui, dans le cadre normal de ses activités, s’engage à payer à des artistes ou à d’autres tiers des sommes
contractuellement définies en échange de contenus ou d’autres produits (« contrats d’emploi, talents créatifs »). Tant que ces contenus ou produits
n’ont pas été livrés ou que le paiement de l’avance n’est pas intervenu, l’engagement d’UMG n’est pas enregistré au bilan et est présenté parmi les
engagements donnés non enregistrés au bilan. Alors que l’artiste ou les autres parties sont également dans l’obligation de livrer un contenu ou un
autre produit à la société (généralement dans le cadre d’accords d’exclusivité), cette contrepartie ne peut être estimée de manière fiable et de ce
fait ne figure pas en engagements reçus.
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Rapport annuel - Document de référence 2014